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La vie d'un hypocondriaque. =D

Photo de fashion-demolition

fashion-demolition

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Toutes les images, photos et textes sont de moi.



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[Inversé, Articles du plus ancien au plus récent ]




Je m'appelle Valentin.

Alias CööKi.

J'ai 18ans.

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Je suis très ouvert.


A suivre ...

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J'accuse.


Le train qui passait au dessus de sa chambre le réveilla. L'homme cligna des yeux plusieurs fois, pour les décoller. Il marcha avec lassitude vers la fenêtre. Cela faisait maintenant 20ans que la population humaine n'avait pas vu le soleil. Les nuages lourds formaient une carapace dans l'atmosphère de la terre.
Il habitait au dernier étage d'une tour. Palier n°23.345, 893ème étage. Tout était sale chez lui, il n'avait pas les moyens d'entretenir son logement insalubre. Quelques fuites, mais le plus pénible restait le train, qui passait a dessus de son plafond toutes les 30 minutes.
Il regarda au loin. Faisait-il jour ou nuit ? Peu importe. Les lumières artificielles étaient la seule facon de s'éclairer maintenant. Il baissa la tete, et vu le panneau d'information.

"Aujourd'hui, le 25 Juin 2142, température extérieure : 9°C ; Trafic Aérien : Dense."

Sa femme etait peut etre levée. Il alluma son ordinateur avec le son de sa voix.
-Bonjour Xavier.
-Salut, connectes toi au réseau, et dis moi si Camille est la.
-Bien sur. Avez-vous bien dormi ?
-Passons, répondit-il avec lassitude dans sa voix.
-Camille est connectée, je lance la conversation ? demanda l'ordinateur, avec cette voix de femme robotisée.
-Oui vas-y.

Depuis les années 2000, les choses avaient évolué. Les rapport sociaux se dégradaient de jour en jour. Bientôt, tout les humains conversaient en ligne, ils ne trouvaient plus d'intérêt a sortir. Les amitiés étaient devenu intégralement virtuelles, tout comme l'amour. Camille était la femme de Xavier. Ils s'étaient mariés en ligne, comme tout les jeunes couples. Comme tout les couples, ils s'aimaient virtuellement, ils se voyait régulièrement, mais par webcam, ou vidéophone. Leur dernière conversation portait sur leurs potentiels futurs enfants.

-Faut qu'on reparle de notre derniere conversation Xavier, dit Camille avec un voix tremblante. Il y a une décision a prendre.
-Ouais. A vrai dire ca me dit trop rien des gosses...
-Mais Cheri, je me suis renseignée sur les prix d'envoie de sperme, il n'y a aucun probleme, si on se met ensemble, ou pourra payer le trajet...
-Et les enfants ? Je ne les verraient que par cam ?! Il commençait a perdre patience.
-Oui...non... euh... On trouvera une solution mon amour...
-Ouais, si tu veux... Je te laisse.
-D'accord, et surtout penses y... Je t'aime.


-Conversation terminée, dit la femme-robot.
-Bien, tu as commandé mon repas ?
-Oui, il est sur votre pallier, livré il y a 7 minutes.


Les ressources de la terres étaient devenues critiques. Maintenant un seul organisme gérait la nourriture mondiale. chaque jour, le repas etait envoyé a tout les gens qui pouvaient payer ; comme le "journal" dans les années 2000.


-Bon appetit.
-Merci, mets toi en veille maintenant.
-Biensur. Au revoir.

L'ordinateur éteint, le silence revint dans la pièce vide. Xavier en avait marre. Ce n'était plus une vie. Il se leva; et se redirigea vers sa fenêtre. Il l'ouvrit. Le train passa au dessus, dans un énorme vrombissement. Le silence revint. Xavier était 893 étages plus bas, sans vie.




[Fashion-demolition]©
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#Posté le vendredi 29 août 2008 05:24

Modifié le mardi 31 mars 2009 12:48

Melbourne Shuffle

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DANCE FOR EXPRESS

NOT TO IMPRESS



(Oui c'est bien moi HardCoke. HardBullet c'est un pote.)
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#Posté le mercredi 26 mars 2008 13:15

Modifié le jeudi 10 décembre 2009 06:38

Que repondre aux profs chiant ?

Aujourd'hui, j'étais encore crevé. Une nuit penible, comme presque toutes les nuits en periode scolaire. Comme a leur habitude, les profs venaient voir si je travaillais, si je ne parlais pas, si j'avais un comportement jugé "normal" par ces adultes détruit par la vie qu'est l'enseignement.
Aujourd'hui encore, la somnolance en cours de phisique allait et venait. Ma vue se brouillai, je revassais. Je n'entendai plus, je ne voyait que ce que les influx nerveux qui partaient du cerveau me montraient. Des images, des tourbillons, des rotations, des zig-zag etc...
Puis le calme ; le vide, le noir. Aucun son. Aucune lueur.
A ce moment, je n'avais aucune notion du temps et de l'espace. J'etais comme englouti, dans une vague de douceur, de tranquillité.

Mais la personne censée nous apprendre la phisique-chimie m'arracha a ce voyage. Tout redevin net. La cacophonie de la classe, la lumiere envahissante des salles de cours, l'odeur d'Andrea...
Ma torpeur etais terminée.

La prof me parlai. Je ne compris aucun de ses mots. A vrai-dire, je ne l'ecoutais pas. Sa bouche se remis a gigoter. J'entendais de nouveau.
"Arretes de rêvasser, et travaille ! Ca fait 15min que tu ne fais rien !"

Je ne savais pas vraiment quoi repondre pour la faire taire.





Mais après une petite recherche sur internet, je suis tombé sur un article interressant : "que repondre aux enseignants ?"


Nous ne copions jamais, nous vérifions nos doutes.

On n'écrit pas sur les tables, on les décore.

On n'insulte pas les profs, on leur rappelle juste ce qu'ils sont.

On ne flemmarde pas, on étudie les mouches.

On ne lit pas de magazines, on s'informe.

On ne se fait pas passer de mots, on étudie un moyen de communication.

On ne dort pas en classe, on réfléchit.

On ne parle pas, on échange des expressions.

On ne mâche pas de chewing-gum on stimule nos muscles.

On ne jette rien, on ne fait qu'étudier la loi de la gravité.

On ne rit pas, on est heureux.





Source : Un blog parmi tant d'autre, qui a puisé
lui même ce texte sur un autre.




[Fashion-demolition]©
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#Posté le mardi 01 avril 2008 12:53

Modifié le mercredi 11 novembre 2009 08:46

La vie est ainsi.














[ ... ]





























Triste Solitude.
</3
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#Posté le lundi 05 mai 2008 13:13

Modifié le jeudi 22 mai 2008 14:26

Sensualité...

Il rentrait chez lui. Ce soir la, sa femme lui avait preéparé un repas.
Comme tout les soirs. Mais ce soirs n'etais pas comme tout les
soirs. Il avait chaud. Trop chaud. Et pourtant, il faisait nuit, et frais
dehors. Il ouvrai la porte. Cette magnifique personne se tenai au
milieu d un nombre incalculable de bougies. Elle etais ce qu'il
etais aussi fier au boulot d'appeller "sa Femme". Elle avait une
magnifique robe noire, qu'elle ne sortait que dans les grandes
occasion.




Elle l'attendai depuis longtemps son homme. Ce
soir, elle voulait etre parfaite. Elle ne savait pas pourquoi. Elle
ressentai comme une boule au ventre depuis le matin a
chaque fois qu'elle pensait au "soir". Elle avait acheter le matin
des nouveaux sous-vetements. Elle ne savais pas pourquoi
, mais c'en etait ainsi. Quoi qu'il en soit, il arrivait enfin, et elle
etait vraiment heureuse, etrangement plus ce soir que d'habitude.




Ils se regadaient. Lui a la porte, elle au milieu de la piece... Il avaient l'air idiots, mais il s'en foutaient au fond. On aurait dit qu'ils ne se connaissaient pas. La chaleur, plus envahissante qu'un apres-midi en été se faisait vraiment sentir. Mais c'etait ces corps, de ces deux amants qui brulaient... L'homme se raprocha. Il toucha tres legerement les mains de sa femme. Il approcha ensuite tres lentement ses levres pour caresser celles de son unique maitresse. Le point de contact de ces deux personne etait intensement bouillant. Mais cette chaleur etait agreable. Ils l'aimaient. La femme ne resistait pas a passer la main dans le dos de son Homme. Il etait trempé. Mais ses muscles bondés la faisait fremir.

Les langues des deux personnes se toucherent. C'etait magique. Comme si ils se decouvraient a nouveau. Elle lui retira sa chemise. Il etait terriblement beau. Elle etait la femme la plus heureuse du monde a ce moment. Le baiser s'arreta. L'homme lui carressa doncement le bras, en remontant vers l'omoplate. Sa main effleura le sein de la femme, puis descendi en touchant tres legerement le flanc vers les hanches. La femme ne tenaient plus debout. Elle l emmena sur le canapé.



La respiration du couple etait forte, mais elle parraissait sychcrone. Ils etaitent tout les deux en sueur. Un autre baisé, puis leur nuit d'amour, si rare et si precieuse, demarra enfin.




[Fashion-demolition]©






Car le Sexe n'est pas comme
dans tout les films de cul sur internet...



Dedicasse a une personne qui se reconnaitra =)
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#Posté le vendredi 09 mai 2008 18:15

Modifié le lundi 27 juillet 2009 07:01

Phat Pant

Voila, je n'ecrit pas de roman cette fois,
c'est juste pour montrer la beauté de ma ptite acquisition :
Mon PHAT ! =D


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#Posté le mercredi 08 octobre 2008 11:01

Modifié le lundi 26 janvier 2009 13:35

Calamité.

Un matin, il etait assi a son bureau, comme tout les matins. Ses converses etaient a coté de sa chaise, pretes a etre enfilées. Il écoutait sa musique.

Comme tout les matins, il s'etait lavé (ce n'est plus une rumeur au passage, oui, il se lave x) ), comme tout les matins, il avait preparé son sac.

On sonna à la porte. C'etait surement son pote, comme tout les matins. Il decrochait l'interphone, et repondit "oui, je t'ouvre." A ce moment, il ressenti un pressentiment, un souffle qui parcourait son corps, rapidement. Un frisson descendit le long de son echine. Il avait comme on appelait plus souvant, un mauvais pressentiement. Pourtant ce matin etait comme tout les matins... Dix minutes apres avoir repondu a l'interphone, sa musique cessa, iln'entendait plus aucun bruit, meme pas le ronronnement habituel du port, ou les mouettes qui hurlait comme a la mort. Ce n'etait pas normal. Il pris l'initiative de descendre ses escaliers, et de tout facon, il ne resterai pas eternellement chez lui comme ca. La peur lui tordait le ventre, il n'y avait plus aucuns sons, dans sa cage d'escalier, il n'entendait meme pas les bruits de ses pas. Plus qu'un etage a descendre... Arrivé au rez-de-chaussé, il remarqua qu'il ne voyait ren a travers la vitre de la porte de son hall. Elle etait noire, noire comme la nuit, noire comme les tenebres. Arrivé devant sa porte, il eu une hesitation, l'hesitation d'ouvrir cette derniere...


Il l'ouvrit....


Un vent glacé lui fouetta le visage, il en eu presque mal. L'obscurité etait dense, c'est comme si elle l'absorbait vers lui. "Clac". La porte s'etait refermée derrier lui. La commençait un voyage dans les tenebres infinis. Il entendait un bruit regulier, comme un vrombissement sonore, mais lointain. Il faisait froid, et il ne pu s'empecher de claquer des dents. Il n'arrivait pas a determiner si cela venait du froid ou de la peur. Cette angoisse montait en lui, telle une maladie qui s'emparait de son corps, de son esprit. Il devait garder les idées claires. Mais son sens de l'orientation etait faussé, ou été le haut et le bas ?! Peut etre qu'il reculait. Ou peut-etre avancait t-il ? Mais une voix l'appella. Une voix feminine, il ne sut dire d'ou, et surtout de qui elle provenait. Elle etait douce et melodieuse, et prononcait son nom comme ou soufflement, rassurant. Un point blanc brillait. Etait-il minuscule, ou est-ce qu'il etait au loin. Puis il grandit, brusquement. Ce fut comme un flash. Il ne voyait plus rien, mais ca ne le changeait pas d'il y a à peine quelques minutes... Il entendait ce vrombissement vraiment fort, il n'y avait que ca dans sa tete, dans son esprit.

Il ouvrit les yeux.

Il etait allongé, sur le banc d'un arret de bus, en plein milieu d'un desert. C'etait le soir, on voyait le soleil qui peu a peu se cachait derriere une dune au loin. Le sable etait d'une couleur rouge-orangée. Une fille marchait vers lui, elle avait l'air d'avoir son age.
- Qui es tu ? lui demanda la fille, en s'asseyant a coté de lui.
- Je ne sais pas vraiment... lui repondit-il.
- Tu devrait vite l'apprendre.. Le bus va bientot arriver.
- Pourquoi suis-je ici demanda t-il.
- Tu t'es peut-etre perdu. Il y en a comme toi qui reste des mois ici...
- Comment repartir ? Et qui est tu ?
- Tu me poses trop de questions auxquelles tu as deja la reponse, tu ferais mieux de les trouver par toi-meme.
- Mais comment ?! Il commençait a perdre patience.
- A toi de le decouvrir. Le bus arrive, ne soit pas en retard. Moi je dois deja repartir.

La jeune fille se leva, puis reparti, elle disparut derriere une colline. Il demeura seul, avec ce silence absurde qui l'abrutissait. Et ce soleil qui restait la, cloué dans ce ciel sans fin, jamais il ne faisait nuit ici ? Il resterait combien de temps dans ce clair obscur ?! L'adolescente lui avait dis que le bus arriverait bientot. Pourtant il attendait depuis deja longtemps. Il appercevait un nuage de fumée au loin. Le vrombissement revenait. Il voyait enfin une forme ressemblant a un bus au loin, ce serait le moyen de sortir enfin d'ici ?
Il courut se mettre sur le passage de ce bus. Il s'arreta net devant lui, et une voix tonitruante hurla "en voiture !".
Les portes s'ouvrit automatiquement. En entrant dans ce bus, il eu chaud. Il entendait un bruit de fond derangeant. Comme une sorte de buzz, qui allait et venait aleatoirement. L'obscurité revint, et le bruit fut plus distinct. Il se reveilla, l'interphone hurlait dans son appartement.

"Oui, c'est qui ?"
- C'est moi, ca fait 10min que je sonne sans m'arreter. Viens on va etre en retard ! dis son interlocuteur.
- Ok, j'arrive. Il descendit, et passa une journée normale. Sauf peut etre dans ses pensées.



~Il passa beaucoup de temps à essayer de comprendre son voyage...#°










[Fashion-demolition]©




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#Posté le samedi 08 novembre 2008 01:06

Modifié le vendredi 25 juin 2010 14:25

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